A LA UNE
A Rwanguba la diarrhée qui déclarée dans la zone de santé de Rwanguba depuis la première quinzaine de ce mois est e n train d’être maîtrisée. On connaît maintenant une baisse sensible de nouveau cas, confie l’infirmier superviseur de la zone de santé. Selon monsieur Marcel SENGUNDU, seulement 4 nouveau cas ont été enregistrés la semaine dernière dont 2 à NTAMUGENGA et 2 autres à Rwanguba.
Selon notre source, la baisse de la fréquence de nouveau cas est la résultante de l’absence de règles d’hygiène dont l’assainissement du milieu et la bonne utilisation des latrines, les responsables sanitaire appellent la population à continuer d’observer ces règles d’hygiène pour éviter de retomber dans des cas de diarrhée ou autres maladies similaire.
Restons dans le même registre de la santé, cette fois dans ce que l’on convient d’appeler ici grand- nord car il s’agit de la zone de santé de Lubero. Là également, les responsables de la santé sont à pied d’œuvre pour juguler d’expansion de la diarrhée qui sévit dans la cité de Lubero depuis plus d’une semaine. L’autorité administrative rassure la zone de santé en collaboration avec l’ONG Merlin jours et nuit pour sauver des vies humaines.
Petit à petit à rumangabo, les semeurs des troubles seront éliminés suite à la bravoure des éléments de la FARDC. Trois bandits armés se sont livrés au pillage d’une somme équivalent à 50$ et trois appareils cellulaires dans la nuit du mercredi à jeudi vers 21 heures à Rumangabo. Ces biens mal acquis appartiendraient à un chauffeur et ses aides qui étaient a bord d’un véhicule en panne à quelque kilomètre de Rugari.
Après avoir commis ces actes inhumains, ils ont poursuivi leurs opération à d’arrêtant un autre FUSO en passage au bord du quel étaient un major et ses escortes. Voulant dépouiller les contenues de poches de c’est Officier FARDC, un de ses escortes a directement ponté la cartouche au chef de bande de ces inciviques
Aussitôt succombé, les deux autres ont pris la direction de la brousse pour s’échapper signalons que le bandit tué était identifié comme habitant de Rumangabo.
Désormais, le quartier Buturande vient de se doter d’un nouveau chef adjoint en remplacement de feu ZIHALIRWA mort en avril 2010. Mr MUHALIRWA Victor est le nouveau chef de quartier adjoint qui vient aider Mr PALUKU NZOVOLI Célestin qui est resté seul à la tête de ce quartier après la mort de ZIHALIRWA qui assumé cette fonction.
C’était les deux chef de cité MAHANO et KAMBALE SIRIWAYO respectivement chef de cité et chef de cité adjoint. Il est déjà 11demi, le deux chef de présentent au grand marché de kiwanja où ils ont présidé les cérémonies d’investiture de MUHINDO Victor comme chef de quartier adjoint. Retenez que ce sont les autorités politico administrative de la cité de kiwanja qui ont nommé Victor pour accomplir les tâches du chef de quartier adjoint.
Rappelons que Mr MUHINDO Victor était de prime abord, Nyumbakumi, chef d’avenue, chef de cellule adjoint dans la cellule office et voici ce mardi 27 juillet 2010,il vient d’être invertu comme chef de quartier buturande adjoint. Ecoutons Muhindo Victor qui nous parle de son projet de société.
CEDERU, le centre de développement rural CEDERU en sigle/ kibututu a un nouveau directeur, monsieur KAMBALE MUHASA. Il remplace ainsi Gédéon PALUKU MUHUMBIRWA décédé en avril dernier à Goma. KAMBALE MUHASA, très serein, en abacoste un peu sombre, a été présenté aux agents du centre, aux leaders communautaires de BUKOMA et d’autres partenaires locaux du CEDERU. C’était au cours d’une cérémonie organisée le lundi à la mi – journée à kibututu, dans les installations du CEDERU. Prenant la parole,le Révérend pasteur NGANZA SYAYIKOMYA, pasteur surveillant du poste Buturande et délégué spécial du représentant légal de la CBCA, a indiqué qu’il a plus à la haute autorité de la communauté de désigner KAMABALE MUHASA à la succession du défunt PALUKU MUHUMBIRWA.
KAMBALE MUHASA a rendu le CEDERU une véritable station de recherche. Il appelle la population locale pour une collaboration avec tous les agents du centre et des structures partenaires. Il est ici au micro de la RACOU – FM
Il faut le dire, le nouveau Directeur du CEDERU est né à Kitsombiro en territoire de lubero. Il a fait ses études primaires à l’EP KIMEMI et ses études secondaires à l’ITAV de Butembo dans le territoire de lubero.
RUBARE, Monsieur Paul MALINIKAZI NDEZE s’en va en guerre contre l’ignorance dans le milieu de ses concitoyens. Samedi après – midi, il a réuni plusieurs dizaines d’habitants de RUBARE dans une des salles de classe de l’école primaire du même nom. Son discours a gravité autour de la constitution.
En clair, MALINIKAZI insiste sur la connaissance des lois du pays ou mieux encore les droits et devoirs autres éléments de son discours, la connaissance de l’évolution politique du pays en suivant au quotidien les infractions. Par ailleurs, Paul NDEZE appelle la population à entreprendre des actions de développement par la culture des fruits qu’il faut transformer et mettre plus en valeur. Ce fils du terrain n’a pas manqué de critiquer les habitudes alimentaires avant d’inviter ses concitoyens à consommer plus de légumes.
Butembo, est arrivé mercredi à la mi- journée le ministre provincial de l’intérieur, monsieur KAHINDO MUTETE MUNDENGA. Il est accompagné de l’inspecteur provincial de la police nationale congolaise du patron de l’ANR- Agence nationale de renseignement, ainsi que d’autres officier congolais du nord – kivu. A en croire des sources sur place à butembo, rien n’a filtré de la visite du ministre MUTETE à Butembo. Cependant d’aucun pensent que le ministre de l’intérieur est allé faire un état de lieu de la situation sécuritaire dans cette ville et dans toute cette partie de la province. En effet, le bourgmestre de la commune MUSUSA, Honorable Patrick KAMBALE FIKO, est accusé d’avoir été marché avec l’assassin de l’étudiant de l’ULPGL la semaine dernière. Et la population de butembo exige qu’il soit jugé dans une audience publique avec le policier qu’il aurait utilisé pour exécuter sa mission. Alors dans pareille circonstance, la visite du ministre aurait pour objectif de faire laisser la tension car selon nos confrères de la RMBB, juste à son arrivée à Butembo vers 11 heures locales, monsieur KAHINDO MUTETE MUNDENGA a reçu en audience à l’hôtel Auberge les différentes couches de la population.
Kibumba, un homme tué, 3000$emportés et une centaine des téléphone ravis, telle est le bilan provisoire d’une embuscade tendue par une bande des mains armés des présumés éléments FDLR. Ce lundi vers 8heures demi à Mualo près de Kibumba, des présumés FDLR ont tendu une embuscade le camion marque FUSO de monsieur KATAMA un opérateur économique de Rutshuru. Retenez que ce camion au bord du quel étaient les opérateurs économiques de kiwanja et Rutshuru, venaient de kiwanja en partance pour Goma. Selon notre source, cette bande des mains armées venaient d’extorquer de l’argent, vivres, et bétails aux habitants des quartier nyababa et kigombe la nuit dernier à Rugari. Suivant les traces de ces bandits ce lundi matin alors, les élements FARDC ont surpris les malfaiteurs lorsqu’il extorqués les contenues des poches des passagers, dans le véhicule de monsieur KATAMA. Un de ces bandits dont monsieur Byimenyimana Gihunde a été attrapé ;par des balles que lui ont tiré le militaires FARDC qui suivaient leurs traces des puis les quartiers où ils ont volé la nuit dernier.
Les juges coutumiers et les notables de rutshuru s’engagent à combattre la violenc basée sur le genre sous toutes ses formes. Cet engagement a été au sorti d’un atelier organisé par le PNUD à Rutshuru, plusieurs dizaines des juges coutumiers y ont pris part. Ils ambitionnent mettre sur pied des mécanismes de prévention et de protection des victimes de violences sexuelles. Pour y réaliser cet ambitieux projet, les juges et les notables veulent attaquer le mal à la racine, sensibiliser les communautés sur le violence sexuelle et vulgariser les lois portant sur la violences sexuelles. En outres l’autorités politiques à chaque niveau doit s’impliquer dans la lutte contre la violence basée sur le sexe. Aussi, les femmes doivent – elles dénouer tout acte de violence dont elles sont victimes. Cette dénonciations permettant aux autorités compétentes et aux chefs locaux de sanctionner avec fermeté les autorités des viols estime- t-on.
Kiwanja, lutte contre l’impunité, la corruption et le soutier à la CPI comme modèle de la paix au nord – kivu voilà un thème qui a regroupé la population de rutshuru victimes des violations de droits de l’homme, la société civile et les chefs de base ce jeudi 19 novembre 2009
C’est le président de l’association de volontaires du congo, ASVOCO en sigle, monsieur MWENEBATENDE DUFINA TABU qui a exposé ce thème. La sale des réunion du CAPA CBCA/ BUTURANDE a servi de cadre à ces assise.
Au cours de son exposé, monsieur DUFINA TABU a bien signalé que c’est par ignorance ou sous information que nos droits sont violés. La corruption peut être évité une fois si c’estr tout le monde qui s’y implique. Plusieurs cas de violation des droit humains ont été soulevés par les participants qui ont demandé aux défenseurs des droits humains de plaider à leur faveur.
En fin trois personnes de différentes couches des populations ont constitué un point focal en vue d’une préparation efficace de la prochaine rencontre.
Rappelons que l’ASVOCO a 24 ans d’existence et son siège social se trouve à Goma,
Enfin, le coordonnateur de cette association va se rendre à Tongo pour mener les campagnes des sensibilisations concernant le droits de l’homme. Parlant des activités organisées, le match amical était la toute dernière activité à mener dans ces différentes espaces.
A kiwanja alors, tout est parti d’une animation des volontaires aux enfants de l’espace du milieu. Après c’est un défilé qui a commencé dans le camp de réfugié à la MONUC/Kiwanja en territoire de Rutshuru jusqu’au CAP/ de l’église CBCA Buturande. Plusieurs activités ont été menés là-bas comme, le Ntore, poème , jeu de l’exposé et théâtre. En fin les enfant appelle tous les parents au respect de leurs droits.
A rubare, une localité située à 4 km de bureau administratif de Rutshuru et à Murambi, lieu propre pour le couvant de sœur catholique, l’ambiance est tout autre, un défilé déjà a eu lieu ce matin. Partout les enfants filles et garçons sont ajuter portant les vareuses des différentes couleurs et d’autres chantaient à haute voix pour célébrer la journée.
A rubare le réception s’est faite dans la salle ASMADI, une association locale du milieu où plusieurs parents et autorités ont répondu vigoureusement. Sur des calicots brandis dans la salle on pourra lire, l’enfant a droit à la vie, à la protection et à l’éducation.
Le message clé pour cette journée est que tout le monde respecte les droits des enfants. Les autorités politico- administrative ne sont pas épargnées dans cette journée comme moratoire. Elles sont toutes présentes aux différentes espaces. Elles attendent rehausser de leurs présences à ces manifestations.
A chengerero, localité située à 20km du territoire de rutshuru, plusieurs jeux ont été présentés entre autre, poème, mudisho (Ntore), football etc… les agents de World Vision et les volontaires ont bien préparé cette journée. Tout le monde est ajuster, les enfants bien préparés à la cérémonie.
Kiwanja, le camp de déplacé près de la base de la MONUC/ kiwanja est en train de se vider de ses occupants. Il n’ y reste plus que 165 ménages. Les autres ont adhéré au retour volontaire tel que voulu par le gouvernement congolais. Cependant tous ces ménages sortis n’ont vraiment regagné leur village d’origine confient des responsables du camp au cours d’un entretien mardi avec la rédaction de la Radio Ushirika de kiwanja, RACOU- FM. Près de mille ( 1000) ménages et 254 ont déclarés leur retour volontaire sous l’accompagnement du PNUD. La première vague de cas retournés est sortie fin mai dernier.
En clair, il ne reste plus que 165 ménages sur ce site. Ils attendent également déclarer leur retour dans les tout prochains jours. A en croire nos sources, les anciens locateurs du camp MONUC ont fait semblant de retourner chez eux. Cependant, nombreux d’entre eux sont encore dans la cité de kiwanja où ils ont pris de maisons en localité. Une autre bonne fraction de ces retournés est restée dans le groupement de Bukoma au lieu d’aller s’installer dans leur village du groupement de Binza et ailleurs. Ces congolais craignent pour leur sécurité qui n’est pas encore garantie dans leurs localité. Notez aussi cette autre révélation, nombreux occupant du site MONUC ont déclaré leur retour pour éviter d’être toujours indexé d’entre tenir l’insécurité dans la cité de kiwanja. En effet, certaines langues attribuaient la permanence de l’insécurité dans la cité aux détenteur illégaux d’armes qui avaient élu domicile dans le camp. L’infirmier de KIBUTUTU que nous gardons anonyme, selon lui, certains malades incapables de payer la facture seraient tentés de ne pas venir se faire soigner au centre de santé et recourir à la médecine indigène. Ce qui ne va pas non plus sans conséquence dangereuse. Et pour étayer ses propos, cet infirmier prend pour exemple une famille dont deux enfants étaient malades le week-end dernier . elle a résolu d’amener au centre de santé, seul un enfant qui avait l’air plus malade que l’autre, abandonnant le moins triste à la maison. Abondant presque dans le même sens, des malades que nous avons interrogés au centre de santé KIBUTUTU,saluent la générosité des partenaires de la zone de santé.
TO GOD BE THE GLORY FOREVER AND FOR ALWAYS
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